The Very Long Post Part I: Art
Monday, 2 October 2006 17:40![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)


It reads as follows (these anonymous critics, obviously, don't all agree):
Anon., La Béquille de Voltaire au Salon…, Paris, [1791] :
[De Mme Labille-Guiard :] Il me semble que tous vos portraits de députés sont au pastel. Auriez-vous par hasard mesuré leur gloire à l’éclat fugitif de ces couleurs ? Ah ! Peignez-nous Robespierre à l’huile !
On conseille à M. Robespierre de s’en tenir aux dames pour faire tirer son portrait ; en effet, M. Boze l’a raté, et, de ce côté-là, il n’a pas à se plaindre de Mme Guyard.
Anon. [cité Ratouis de Limay 1949, p. 107] :
[Boze :] M. Bosse s’étoit fait, dit-on, une réputation par un portrait du Roi fort ressemblant. C’est un mérite commun que celui d’une ressemblance. Mais le talent d’un grand peintre n’entrera pas dans la tête de M. Bosse. Il est sec, froid, grisaille et incorrect. Son n° 215 de M. Robespierre est tout jaune et tout pâle.
Anon., Un Amateur vraiment impartial, « Réclamation. Aux auteurs du journal », Journal de Paris, 1791 :
Deux artistes, M. Boze et Mme Guyard, appellent assez naturellement le parallèle entre eux, comme s’étant appliqués à reproduire la ressemblance de plusieurs députés, parmi lesquels l’un d’eux, M. Robespierre, a été peint par l’un et par l’autre. On pouvait louer Mme Guyard, on le devroit galamment, sans se croire obligé de lui sacrifier avec tant d’injustice le talent si estimable et si distingué de M. Boze. Celui-cy, dans tous ses portraits, et notamment dans ceux de Mirabeau, de MM. Fayet, Robespierre et le sien, montre réunis a un si haut degré le mérite d’une incomparable vérité de ressemblance dont est si loin l’a peu près de tel autre et celui d’un ton de couleur qui, varié comme celui de ses modèles, est ainsi constamment fidèle a la nature ; M. Boze, dis-je, a chaque indication de ses ouvrages que donne la critique ne recueille qu’une épithète injurieuse.
In other art-related news, I have a book based on an exhibit at the New York Metropolitan Museum of Art from the time of the Revolution's bicentennial; which, as I'm sure you could have guessed given the time and place, is written entirely by revisionists, but if you ignore the text, the pictures are still quite nice. In particular I found a drawing of Saint-Just by Constance Mayer, which I had not seen before. I thought this might also be the case with some others of you, so I've scanned it here:
